Pourquoi Skillsdeal ?

Pourquoi Skillsdeal. Nous passerons tous en moyenne 75 000 heures de notre vie au travail. Des changements majeurs bouleversent l’organisation du travail. Parmi ceux-ci deux changements structurels importants, l’augmentation de l’emploi dans les services et la diminution des emplois moyennement qualifiés. Malgré l’augmentation de la demande, des milliers de postes dans les services restent à pourvoir par manque de candidats.

L’évolution des contrats à durée indéterminée

La part des contrats à durée indéterminée (CDI) dans l’ensemble des offres d’emploi ont diminué, passant de 72% en 2021 à 68% en 2022, soit -5%. Fin 2021 et début 2022, le nombre de démissions a atteint un niveau historiquement haut. On enregistre près de 520 000 démissions par trimestre, dont 470 000 démissions de CDI. Le record précédent datait du 1er trimestre 2008, avec 510 000 démissions dont 400 000 pour les seuls CDI. Nous comptions au premier trimestre 2022, 2 fois plus de personnes qui démissionnent. Les organisations comptaient également 3 fois plus de démissions que de licenciements. Nous comptions enfin 7 fois plus de démissions que de départs en retraite.

Selon une plus récente étude réalisée par Opinion Way avant l’été 2022, la détresse psychologique des collaborateurs « reste à un niveau élevé et inquiétant ». Selon ces chiffres, elle toucherait 41 % des salariés, dont 14 % à un taux élevé. En outre, 34 % des salariés français seraient en burn-out, et parmi eux 13 % en burn-out qualifié de « sévère » (soit plus de 2,5 millions de personnes).

Skillsdeal et les besoins et désirs des actifs aujourd’hui

En résumé, les actifs veulent du sens, de la liberté et de l’autonomie. Les jeunes actifs souhaitent un management par objectif et plus par l’horaire. Malgré un environnement dynamique où de nombreux postes restent à pourvoir, 41% des salariés seraient en souffrance.

Face à ces constats, Skillsdeal propose aux actifs, peu importe leur situation professionnelle, de valoriser leurs compétences par l’exécution de taches contre rémunération, par le bénévolat ou par l’échange de services. Ces taches peuvent être longues, courtes, ponctuelles, récurrentes, demandant des compétences très qualifiées ou pas. Les besoins de compétences sont comblées en les partageant ou avec de nouveaux profils porteurs de compétences recherchées qui apparaissent.

En sortant de la vision liée à un profil de poste, le salarié en activité apporte, en plus de son quotidien professionnel, d’autres de ces compétences ailleurs. Les autres actifs touchent plusieurs secteurs d’activités qui peuvent ne rien à voir entre eux. Les uns et les autres se trouvent davantage valorisés pour ce qu’ils sont capables de faire dans une multitude de secteurs d’activité.

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